PROCÉDURES CRIMINELLES À LA CARTE
Faites votre choix parmi les procédures criminelles des capitouls de 1670 à 1790
Depuis 2019 nous affrons à tous la possibilité de choisir des procédures criminelles instruites par les capitouls entre 1670 et 1790. Cette page tient lieu d'espace de demande et de consultation des documents que nous numérisons ainsi "à la carte" si leur état et format le permet.
Nous vous invitons à sélectionner directement une procédure particulière à partir des inventaires en ligne (que vous trouvez sur la colonne de droite), puis à nous en envoyer la référence (cote) précise par messagerie.
Nous la numérisons ensuite, nous en faisons un fac-similé (que nous affublons d'un titre) et nous posons ce dernier sur cette page en le rendant disponible au téléchargement par tous. En outre, nous y joignons la transcription d'une des pièces (voire plus si affinités) de l'affaire, ainsi que des commentaires et quelques pistes de recherches s'il nous est loisible. Voilà, le tour est joué !
Tendre cousine
numéro 24 - décembre 2022
M. B. a fait ses études de Droit à Toulouse et a eu le privilège d'avoir Henri Gilles comme professeur d'histoire du droit. Nul doute que son goût pour l'histoire en ait été exacerbé.
Il s'occupe désormais de sa généalogie familiale et s'interesse particulièrement à deux aïeux dont il a repéré la dénonce de grossesse au sein des procédures criminelles des capitouls. Une dénonce pour le moins suprenante que nous livrons ici à sa demande.
« Tendre cousine ». Lorsqu'en 1750, deux proches parents se partagent le fardeau des tâches quotidiennes dans la campagne toulousaine, et que cette proximité va jusqu'à partager la même couche.
Aux sources de la peur
numéro 23 - mai 2022
Le 7 mai 2022 au matin sept personnes ont participé à l'atelier « Tu ne tueras point… mais tu peux toujours essayer » Au menu ce jour-là une affaire de suicide datée de 1778, celle d'un jeune homme qui va choisir de terminer ses jours en se suspendant par le col à une poutre de sa chambre.
L'enquête sommaire ne peut évidement pas privilégier la thèse de l'accident, et les magistrats répugnent visiblement à déclarer l'homicide de soi-même, considéré comme un des crimes les plus ignobles. Heureusement, grâce au témoignage fort opportun d'une voisine, le pendu volontaire sera déclaré « foible d'esprit » et pourra finalement reposer en terre consacrée sans qu'un procès soit intenté à sa mémoire.
« Aux sources de la peur ». Lorsque le suicide par pendaison d'un commis de cuisine en novembre 1778 devient le révélateur de peurs, d'angoisses et de... vapeurs.
Laisse la cageroque qui est à l'endroit où on a pendu ton frère, on t'attend parce que tu y sera bientost
numéro 22 - mars 2022
Depuis plusieurs années, L. côtoie les criminels qui ont hanté le ressort du parlement de Toulouse entre 1670 et 1789. Elle se focalise désormais plus précisément sur les mécanismes l'élimination pénale de ces individus.
Si sa thèse en cours porte sur des « Condamné.es à vie, condamné.es à mort » bien réels, il est pourtant un autre champ qui attire son attention : celui des peines évoquées ou invoquées. Ces châtiments imaginaires, souhaités, rêvés, auxquels on voue son adversaire dans le feu de la colère, ou bien ceux encore dont on s'ingénie à faire croire qu'il a subi, alors même qu'il n'a peut-être jamais eu à répondre du moindre crime ou délit de sa vie.
« Laisse la cageroque qui est à l'endroit où on a pendu ton frère, on t'attend parce que tu y sera bientost ». Petits échanges de menaces, de rappels et de promesses de supplices entre revendeurs au marché de l'hôtel de ville en 1745.
Piège en basse rivière
numéro 21 - janvier 2022
A.-L. va intervenir dans un séminaire sur la thématique de la navigation en radeau sur Garonne amont. Si la zone toulousaine est exclue de cette communication précise, A.-L. porte un intérêt certain à tout ce qui touche aux embarcations et à leurs équipages sur le fleuve dans son cours intégral, et elle s’attache à les suivre au long de leurs descentes – puis de leur remontées, avec une considération particulière pour les aménagements (ports, gués, passages).
Ces bateliers, radeliers ou rachers se signalent quelquefois dans les procédures criminelles des capitouls ; un choc entre deux équipages a spécialement retenu l'attention.
Piège en basse rivière. D’un violent affrontement naval survenu en août 1741 sur la Garonne, en amont du port Garaud.
Les bûchers du port Garaud
numéro 20 - décembre 2021
J. a été l'un des premiers à profiter des procédures criminelles des capitouls afin de compléter et de nourrir la généalogie de sa famille ; il y découvre, ou y retrouve avec bonheur ses ancêtres – hauts en couleur pour la plupart.
La procédure par lui choisie met aux prises deux sœurs sur le port au bois de Toulouse : le port Garaud. Entre insultes échangées, termes offensants et même coups portés, voilà un merveilleux prétexte à une courte introduction sur le port Garaud en cette fin du XVIIIe siècle et une présentation d’une partie des travaux de recherche engagés.
Les bûchers du port Garaud. Lorsque, en 1781, deux sœurs s'affrontent, elles ne mâchent certainement pas leurs mots et le port résonne certainement encore de leurs cris.
télécharger la procédure et sa présentation succincte
Troubles en coulisse
numéro 19 - octobre 2020
Cl. enseigne dans une université de l'autre côté du Channel, ses recherches sur le théâtre l'amènent à parcourir l'Europe, à la recherche ou à la poursuite d'acteurs (on dit maintenant comédiens) ayant brûlé les planches entre la fin de l'Ancien Régime et la chute de l'Empire.
La procédure par elle choisie met aux prises deux acteurs dans les coulisses de la salle de spectacle. Et les insultes échangées là nous servent ainsi de prétexte pour présenter en introduction du fac-similé de cette petite procédure une ébauche de catalogue des termes injurieux entre hommes durant tout le XVIIIe siècle.
Troubles en coulisse. Fripon, gueux, coquin ! Lorsque, en septembre 1789, le spectacle n'est ni sur scène, ni au parterre, mais bien dans les coulisses.
Gare au gorille !
numéro 18 - octobre 2020
L. vient de déposer officiellement son sujet de thèse. Ce seront les animaux dans la ville au 18e siècle qui vont être au cœur de son étude durant les prochaines années. Recherche qu’elle veut orienter plus particulièrement sur les relations complexes entre l'homme et l'animal dit de compagnie ; entre notion d'appartenance, d'attachement, de maltraitance ou de désintérêt…
Et parmi ces animaux de compagnie, voilà donc un singe, descendu de l'étage supérieur d'une maison qui va surgir et tomber à pic !
Gare au gorille ! Les écarts du singe de madame Birosse en 1769 : comportements d'un animal retors, lubrique ou simplement facétieux ?
Tu ne tueras point…, mais tu peux toujours essayer – acte deux
numéro 17 - septembre 2020
À l'occasion des Journées Européennes du Patrimoine, des ateliers participatifs sont ouverts au public. Le samedi 19 septembre 2020, les participants découvriront les pièces qui composent une procédure criminelle : un meurtre entre amis en 1749. Ils devront localiser précisément le lieu du crime, transcrire l'autopsie de la victime et remplir une fiche destinée à figurer en ligne sur le module Meurtres à la carte d'Urbanhist.
Tu ne tueras point…, mais tu peux toujours essayer – acte deux : le meurtre du 6 mai 1763. Second volet de l'atelier participatif proposé le dimanche 20 septembre 2020 lors des Journées Européennes du Patrimoine.
Tu ne tueras point…, mais tu peux toujours essayer – acte premier
numéro 16 - septembre 2020
À l'occasion des Journées Européennes du Patrimoine, des ateliers participatifs sont ouverts au public. Le samedi 19 septembre 2020, les participants découvriront les pièces qui composent une procédure criminelle : un meurtre entre amis en 1749. Ils devront localiser précisément le lieu du crime, transcrire l'autopsie de la victime et remplir une fiche destinée à figurer en ligne sur le module Meurtres à la carte d'Urbanhist.
Tu ne tueras point…, mais tu peux toujours essayer – acte premier : le meurtre du 19 décembre 1749. Premier volet de l'atelier participatif proposé le samedi 19 septembre 2020 lors des Journées Européennes du Patrimoine.
Françoise Ménard, grande diva ou garce à chiens ?
numéro 15 - juillet 2020
Par cette affaire de 1710, A. et G., espèrent trouver matière à enrichir CESAR, la base de données en ligne consacrée aux spectacles sous l'Ancien Régime. Ils n'imaginaient certainement pas que cela leur donnerait aussi l'opportunité d'aborder un autre répertoire, tout aussi riche, … celui des insultes entre femmes !
Françoise Ménard, grande diva ou garce à chiens ? Une bordée d'insultes, un flot de paroles diffamatoires, la richesse et la variété des insultes entre femmes au XVIIIe siècle
Étrange rendez-vous au pont de Guilheméry
numéro 14 - juillet 2020
Depuis quelques années, T. publie les résultats de ses recherches sur Hercule Florence, et il en est venu naturellement à s'intéresser à son ascendance. Si cet Hercule est devenu célèbre au Brésil, notament pour être un des pionniers – sinon l'inventeur – de la photographie, ce sont ici ses grands parents, Roch Florence et Antoinette Villette, qui portent plainte en 1748 après une étrange agression.
Étrange rendez-vous au pont de Guilheméry. Entrevue commerciale, traquenard ou rendez-vous galant ? Une étrange affaire au bord du canal en 1748.
Adieu chemises, culottes et habits galonnés
numéro 13 - juillet 2020
Certes, D. est canadien anglophone, mais il descend en ligne droite (ou presque) d'un pâtissier-rôtisseur toulousain qui a déjà figuré dans un dossier des Bas-Fonds « La rôtisserie du père Varennes » (n° 7, juillet 2016), et dont trois lettres d'amour ont même été publiées dans l'annexe du Bas-Fonds « Je vous écris mon amour éternel » (n° 14, février 2017).
D. écrit l'histoire de sa famille et souhaite consacrer un passage à Catherine Combertigues, petite-fille de ce rôtisseur. Au vu du nombre de procédures dans laquelle nous retrouvons cette enfant terrible, il faudra qu'il songe désormais à lui réserver un chapitre entier !
Adieu chemises, culottes et habits galonnés. Lorsqu'un acteur semble découvrir avec effarement que ses habits engagés pour quatre louis d'or ont été vendus sans son accord.
Adieu louis d'or, écus et jetons d'argent
numéro 12 - juin 2020
M.-L. est numismate. Ses recherches actuelles l'amènent à s'intéresser aux jetons qui ont pu être gravés, frappés et distribués sous l'Ancien Régime, qu'ils soient de fondation (enterrés à l'occasion de la pose de la première pierre d'un édifice), commémoratifs (à l'instar des médailles), ou de présence (distribués sous forme de gratification). Ce sont précisément ces derniers qui sont volés à un ancien capitoul en 1702.
Adieu louis d'or, écus et jetons d'argent. Le valet de Bondigoux, ou la mésaventure de l'ancien capitoul qui eut été mieux inspiré de manquer l'office des vêpres ce jour-là.
Chez Lavigne on y entre comme dans un moulin
numéro 11 - juin 2020
Dans le cadre de recherches généalogiques, M... s'intéresse à la famille Lombiac. Le Lombiac dont il est question dans cette procédure – et dont on ne sait autre chose si ce n'est qu'il a servi dans le régiment de Condé, se retrouve en fâcheuse posture car il se fait surprendre un soir d'octobre 1790, rue des Moulins, dans la chambre d'une femme mariée ; ce qui n'est visiblement pas du goût du mari !
Chez Lavigne on y entre comme dans un moulin. D'un mari soupçonneux qui prétendit aller à la campagne et qui se mit en embuscade, sabre au clair, afin de mieux surprendre son épouse avec ses amants.
L'assassinat de Saint-Maurice
numéro 10 - mai 2020
À la rentrée prochaine de septembre, X... va entreprendre un Master d'histoire axé sur la criminalité à heure nocturne. Il a sélectionné une procédure d'août 1766 où l'on assiste, à minuit pile, à un assassinat au beau milieu de la place Saint-Georges.
Mais attention, un assassinat ne signifie nullement un meurtre, et notre victime s'en tirera finalement sans une égratignure.
L'assassinat de Saint-Maurice. Minuit sonne sur la place Saint-Georges ; de retour du café, Claude de Saint-Maurice se fait soudain arracher son épée...
La fée Urgèle, ou Ce qui plaît aux dames
numéro 9 - mai 2020
La seconde procédure demandée par E... dans le cadre de sa recherche sur les troubles au spectacle au XVIIIe siècle, voit cette fois un acteur jaloux être à l'origine d'une cabale menée dirigée celui qui a finalement obtenu le rôle qu'il convoitait.
La fée Urgèle, ou Ce qui plaît aux dames. Sur une cabale menée en 1772 par un acteur piqué de n'avoir pu avoir de rôle dans l'opéra-comique de La fée Urgèle.
La longue nuit de l'impuissant
numéro 8 - mai 2020
M... travaille actuellement sur l'impuissance masculine au début du XIXe siècle, mais elle ne répugne pas à chercher des exemples plus anciens. Un cas repéré en l'année 1750 a particulièrement éveillé sa curiosité.
La longue nuit de l'impuissant. Quand les quolibets se muent en véritable torture : la nuit douloureuse du peintre Darmagnac, le 30 octobre 1750.
Isn't it Géraud, who invented the bollard ?
numéro 7 - mai 2020
K.-P… est un étudiant britannique qui prépare un projet de Phd (thèse) qui serait une étude comparative des modes et flux de circulation (charrois, charrettes à bras, etc.) dans plusieurs cités européennes sous l'Ancien Régime (Early Modern Period, 1500-1750). Il nous a laissé carte blanche pour lui sélectionner une seule procédure pouvant révéler les possibilités des sources au sein de nos fonds d'archives pour un tel projet.
Isn't it Géraud, who invented the bollard ? Et si l'invention du « bollard » pour délimiter et protéger les trottoirs était due à Géraud Combes en l’année 1737.
Cailhava, le roi du pharaon
numéro 6 - mai 2020
L... est en première année de master d'histoire. Pour les besoins de son sujet de recherche, il se plonge dans un monde gagné par la fièvre des jeux de cartes et d'argent. Cette fois, il a sélectionné une seconde procédure - faisant écho à la précédente (voir n° 5), où Jean-Baptiste Cailhava, le personnage central fait encore parler de lui en cette année 1740.
Cailhava, le roi du pharaon. Deuxième épisode de la difficile traque, en 1740, de Jean-Baptiste Cailhava, organisateur de parties de jeux de hasard.
Cailhava, au mépris des lois divines et humaines
numéro 5 - mai 2020
L... est en première année de master d'histoire. Il s'intéresse aux jeux de cartes, plus particulièrement à ces "académies" où l'on donne à jouer des jeux prohibés. Les parties endiablées de pharaon, de biribi, de cavagnole, de dupe, de bassette et de lansquenet font alors fureur, et l'on en ressort généralement ruiné. Voici d'abord la première procédure d'une série de deux, datant de l'année 1740, intimement liées l'une à l'autre, qui ont été sélectionnées par L...
Cailhava, au mépris des lois divines et humaines. Premier épisode de la difficile traque, en 1740, de Jean-Baptiste Cailhava, organisateur de parties de jeux de hasard.
Le diptyque du mari agenouillé devant sa femme puis, chevauchant l'âne
numéro 4 - avril 2020
En marge de ses études d'histoire, M... se passionne pour les charivaris. Sons de trompe, bruits de casseroles, chants narquois et grivois, dépôts de charognes et accrochages de cornes..., elle pensait avoir fait le tour de cette pratique festive jusqu'à ce que l'inventaire de l'année 1728, récemment publié, la fasse frémir et bondir...
Le diptyque du mari agenouillé devant sa femme puis, chevauchant l'âne. En 1728, une étonnante querelle puis rixe entre voisins autour d'un tableau non moins surprenant.
Le chant des mutins du parterre
numéro 3 - avril 2020
E... prépare un Master en histoire sur les troubles au spectacle. Parmi la liste de procédures qu'il nous demande, nous en avons sélectionné une première, de 1777, qui voit les étudiants et autres jeunes gens occupant le parterre se distinguer par des poussades, des cris et des chants.
Le chant des mutins du parterre. Quand, en mars 1777, la jeunesse se met à chanter, crier, siffler, se pousser et repousser afin de troubler le spectacle.
Les bouches à feu de saint Augustin
numéro 2 - avril 2020
C'est une procédure de 1752 qui a attiré l'attention de la famille R... Un de leurs ancêtres serait l'auteur d'une malheureuse décharge de mousqueterie sur la place Saint-Georges, lors des festivités de la Saint-Augustin. Heureusement, plus de peur de que mal pour le malheureux passant projeté à terre par la violence du coup.
Les bouches à feu de saint Augustin. Quand, en août 1752, les festivités en l'honneur de saint Augustin donnent lieu à une malencontreuse décharge de mousqueterie
Monsieur le riche, tu me payeras ou le diable t'emportera !
numéro 1 - avril 2020
Ce qui intéresse N…, étudiante en histoire de l'art, est que cette affaire datée de 1751 se passe précisément sur le chantier de la nouvelle façade du Capitole et qu'elle espère ainsi, à la lecture de cette source, s'approcher au plus près des échafaudages et des ouvriers.
Monsieur le riche, tu me payeras ou le diable t'emportera ! Quand, en 1751, devant la façade du Capitole que l'on édifie, un ancien capitoul se trouve tout étourdi par un maçon clabaudeur.
Inventaires détaillés à télécharger
téléchargez ici les inventaires détaillés des procédures criminelles des années disponibles :
1670 | 1671 | 1672 | 1673 | 1674 |
1675 | 1676 | 1677 | 1678 | 1679 |
1680 | 1681 | 1682 | 1683 | 1684 |
1685 | 1686 | 1687 | 1688 | 1689 |
1690 | 1691 | 1692 | 1693 | 1694 |
1695 | 1696 | 1697 | 1698 | 1699 |
1700 | 1701 | 1702 | 1703 | 1704 |
1705 | 1706 | 1707 | 1708 | 1709 |
1710 | 1711 | 1712 | 1713 | 1714 |
1715 | 1716 | 1717 | 1718 | 1719 |
1720 | 1721 | 1722 | 1723 | 1724 |
1725 | 1726 | 1727 | 1728 | 1729 |
1730 | 1731 | 1732 | 1733 | 1734 |
1735 | 1736 | 1737 | 1738 | 1739 |
1740 | 1741 | 1742 | 1743 | 1744 |
1745 | 1746 | 1747 | 1748 | 1749 |
1750 | 1751 | 1752 | 1753 | 1754 |
1755 | 1756 | 1757 | 1758 | 1759 |
1760 | 1761 | 1762 | 1763 | 1764 |
1765 | 1766 | 1767 | 1768 | 1769 |
1770 | 1771 | 1772 | 1773 | 1774 |
1775 | 1776 | 1777 | 1778 | 1779 |
1780 | 1781 | 1782 | 1783 | 1784 |
1785 | 1786 | 1787 | 1788 | 1789 |
1790 |
Pour un meilleur rendu d'impression un paramétrage de votre imprimante au format A3 est recommandé.
à la recherche d'une thématique ?
- en cours de construction -
Pour s'y retrouver plus aisément dans les procédures déposées en ligne, celles et ceux intéressés par les thématiques abordées (effleurée) en introduction de la plupart des affaires pourront orienter leur choix à partir de la liste ci-dessous :
- les insultes au féminin
- les insultes au masculin
- les jeux de hasard
- le port Garaud
- les joutes nautiques
- les expressions de la peur
- l'impuissance au masculin
- monnaies, jetons et médailles
- singes et animaux exotiques