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L'arme du crime, acte cinq - le fer et le feu

L'arme du crime, acte cinq - le fer et le feu


n° 42 - juin 2019

Lotte remettant le pistolet à Werther, dessin à l'encre de Daniel-Nikolaus Chodowiecki, 1777, illustration de l'ouvrage de Goethe, "Les souffrances du jeune Werther" Rijksmuseum, Amsterdam, inv. n° RP-T-1927-65Pour clore cette série sur l'arme du crime, il fallait bien laisser la part belle aux armes de mort et de désolation que sont l'épée et le sabre, le fusil et le pistolet.

Mais voilà, nous avons tenu à les présenter sous un angle bien différent de celui attendu.
Nous verrons en effet que l'épée toulousaine n'était guère solide et qu'elle se brisait souvent sur l'échine d'un adversaire que l'on rossait avec le plat de l'arme.
Quant au pistolet, ce n'est plus reluisant : il faisait faux-feu une fois sur deux et, quand il n'était pas sujet à des ratées, les plombs ou balles se perdaient plus souvent dans le ciel toulousain que dans les chairs de celui ou celle que l'on avait l'intention d'occire.

Pour ne pas trop décevoir certains, une annexe liste tout de même une sélection de cas où ces armes ont brillamment fait leur office, sans laisser la moindre chance à leurs victimes.

téléchargez ici le dossier consacré à l'épée et au pistolet